Des conseils pour choisir et mieux utiliser votre appareil photo par Jean-Christophe Dichant

Photos ratées ? Réglages trop compliqués ? Déception et frustration ?

Utilisez ma boîte à outils photo pour en finir avec vos problèmes et progresser chaque jour :

Combien de mégapixels vous faut-il vraiment pour avoir la qualité d’image attendue ?

Vous cherchez un appareil photo qui vous donne des images de qualité, mais savez-vous combien de mégapixels faut-il réellement pour que cette qualité soit celle que vous attendez ? Vous faut-il un appareil photo de 45 Mp ou 24 Mp seront-ils suffisants pour votre pratique ?

Le nombre de mégapixels peut sembler crucial lors du choix d’un appareil photo, mais est-ce vraiment déterminant en matière de qualité d’image ? Découvrez la relation entre définition, résolution et qualité d’image. Faites un choix éclairé lors de l’achat de votre appareil photo.

Combien de mégapixels vous faut-il vraiment pour avoir la qualité d'image attendue ?

Combien de mégapixels pour obtenir des photos qui vous plaisent

« Plus il y a de pixels, mieux c’est ! » Ce cri du cœur de certains photographes (et vendeurs …) ne traduit que rarement la nécessité d’avoir un capteur très riche en pixels.

En effet, le nombre de mégapixels (la définition) n’est pas le seul déterminant de la qualité d’image. La taille du capteur, la qualité de l’objectif et la maîtrise de la composition et de l’exposition jouent un rôle crucial. A nombre de pixels égal, un appareil photo avec un capteur plus grand dispose de photosites plus grands, ce qui améliore la qualité de l’image même avec un nombre de mégapixels plus faible.

Une définition plus élevée peut toutefois être nécessaire pour les impressions grand format ou pour les photographes professionnels travaillant dans l’édition ou la publicité. Pour obtenir une netteté optimale et des détails fins dans une impression de grande taille, une définition de 45 Mp ou plus peut être nécessaire.

Cependant pour la plupart des photographes amateurs, une définition de 24 Mp est suffisante, offrant un bon équilibre entre qualité d’image et taille des fichiers. Il existe toutefois un usage bien particulier qui peut justifier de passer à 45 Mp, je vous en parle plus bas.

A titre de comparaison, un film argentique 24×36 scanné à 4000 dpi, une valeur élevée permettant de restituer tous les détails de l’image, correspond à un fichier numérique qui ferait 5.600 x 3.700 points, soit environ 20 Mp si l’on considère qu’un point équivaut à un pixel.

La plupart des appareils photo actuels offrent donc une définition suffisamment élevée pour un usage courant, comme le partage sur les réseaux sociaux ou l’impression de photos de taille standard. Inutile donc de vous ruiner pour passer à 45 Mp « absolument », un bon 24 Mp vous rendra les services attendus. L’écart de prix en sa faveur vous permettra par exemple de vous procurer un objectif à focale fixe et grande ouverture très intéressant pour faire de meilleures photos.

Au moment du choix, prenez en compte l’ensemble du système photo, y compris la taille du capteur, la sensibilité ISO, la plage dynamique et les objectifs envisagés plutôt que de vous concentrer uniquement sur le nombre de mégapixels.

Nombre de mégapixels et tirages photo

La résolution (fonction de la surface du capteur) idéale dépend de vos besoins spécifiques et de la taille des tirages envisagés. Notez bien que ces dimensions et résolutions sont basées sur une utilisation courante de 300 PPP (Point par Pouce) pour une qualité d’impression élevée. Cette valeur peut varier en fonction des préférences individuelles et des exigences du projet. A 200 PPP vous obtiendrez des tirages de très bonne qualité et de plus grande taille pour le même nombre de pixels.

Avec un appareil photo de 12 Mp vous pouvez obtenir des impressions de qualité jusqu’à 20 x 25 cm, idéales pour les cadres photo, les albums de famille ou les petits tirages. Par exemple, si vous souhaitez une impression de 10 x 15 cm avec une résolution de 300 pixels par pouce (PPI), vous aurez besoin d’une définition de 1181 x 1772 pixels soit … 2 Mp.

Un appareil photo de 24 mégapixels offre une définition double, ce qui permet d’agrandir les impressions jusqu’à 30 x 50 cm tout en maintenant une netteté et des détails fins.

Avec 36 Mp vous avez une définition plus élevée pour des projets d’impression grand format, tels que des expositions, des tirages d’art ou des travaux commerciaux. Avec cette définition, vous pouvez réaliser des impressions allant jusqu’à 40 x 60 cm avec une netteté exceptionnelle et une grande richesse de détails.

Un appareil photo de 45 Mp ou plus est destiné aux photographes pour lesquels chaque détail compte. Cette définition extrêmement élevée permet de réaliser des tirages de très grande taille, allant jusqu’à 60 x 90 cm ou plus, tout en conservant une netteté et des détails exceptionnels.

La formule qui lie nombre de pixels et taille du tirage est la suivante.

  • ex. pour 24 Mp, nombre de pixels : 6.000 x 4.000
  • à 300 PPP cela donne 6.000 / 300 = 20 pouces
  • 1 pouce vaut 2,54 cm dont cela fait 20 x 2,54 = 50,8 cm

Avec 24 Mp, vous pouvez donc avoir un tirage de grande qualité à 300 PPP qui mesure 50 x 33 cm (en savoir plus).

Nombre de mégapixels et recadrage

Lorsque vous recadrez les photos d’un appareil plein format au format APS-C (« crop DX »), vous réduisez le nombre de pixels. Supposons que vous ayez un appareil photo plein format de 45 Mp, le recadrage APS-C vous laissera environ 20 Mp. Avec un capteur 24 Mp, il vous reste environ 10 Mp.

Cela signifie que vous avez toujours une définition élevée avec l’appareil photo de 45 Mp, ce qui n’est pas le cas avec le 24 Mp. Si vous pratiquez le « crop DX » fréquemment pour bénéficier du ratio x 1,5 sur la focale, mieux vaut envisager un 45 Mp. Attention, le revers de la médaille c’est le manque de netteté qui peut être plus visible avec ce type de recadrage si l’objectif n’est pas suffisamment qualitatif, ou si le flou de bougé vous guette.

Nombre de mégapixels et niveau de bruit numérique

Il est communément admis que plus le nombre de pixels est élevé sur un capteur, à taille de capteur fixe, la densité des photosites est supérieures, donc leur taille unitaire inférieure. ce qui tend à dire que si les photosites sont plus petits, le bruit numérique va augmenter plus vite en haute sensibilité que s’il étaient plus grands captant alors plus de lumière.

La vérité est toute autre. Avoir un grand nombre de pixels n’est pas nécessairement un problème en termes de bruit numérique. En réalité, plus il y a de pixels, plus cela peut être avantageux lors du traitement post-photographie.

La raison en est que le bruit numérique est un phénomène aléatoire : chaque pixel est affecté indépendamment de ses voisins. Lorsque nous avons une image avec une haute résolution, les algorithmes de débruitage des logiciels experts peuvent mieux fonctionner. Ils exploitent la redondance des motifs dans l’image, découpant celle-ci en patchs et moyennant les patchs similaires. En ayant une densité de pixels plus importante, la probabilité de faux positifs diminue, rendant le processus de débruitage plus précis. En somme, une résolution élevée peut améliorer considérablement la qualité du traitement du signal et du débruitage.

Nombre de mégapixels : ce n’est pas toujours celui qui en a le plus qui gagne !

En résumé, le nombre de mégapixels n’est qu’un aspect parmi d’autres lorsqu’il s’agit de choisir un appareil photo. La qualité d’image dépend de plusieurs facteurs, et il est essentiel de prendre en compte l’ensemble du système de l’appareil pour obtenir les résultats attendus.

Si vous vous contentez de publier vos photos sur le web ou les réseaux sociaux, peu importe le nombre de Mp.

Si vous faites des tirages au format carte postale ou des livres de photographies, c’est pareil.

Si toutefois vos besoins vont au-delà de ça, réfléchissez avant d’investir.

Cet article vous a aidé ?

Recevez ma boîte à outils photo pour progresser en photo même si vous n'avez que 5 minutes par jour.

La recevoir maintenant

Télécharger cet article en PDF

Télécharger l'article en PDF

Vous recevrez par mail des conseils photo, des sujets inédits, des offres réservées aux abonnés et des réductions sur mes formations. Vous pourrez aussi échanger avec moi directement.

Partager cet article sur les réseaux sociaux

SHARE TWEET PIN

About the Author

Merci de remplir les champs ci-dessous pour laisser un commentaire.

Votre commentaire

Votre adresse email ne sera pas publique. En raison de trop nombreux spams les commentaires comportant un lien sont modérés.


*


27 Commentaires sur "Combien de mégapixels vous faut-il vraiment pour avoir la qualité d’image attendue ?"

  1. N’oublions pas que sur un capteur affichant 24 Mpx, il y en a 6 pour le rouge, 12 pour le vet, et 6 pour le bleu. Le dématriçage fait perdre dans les 30% de ce que ça devrait être si les capteurs étaient fabriqués selon le technologie Foveon, avec réellement 24 Mpx. Personne n’est parfait, et les Foveon ont d’autres problèmes qui sont rédhibitoires, selon les lois du marketing consumériste…Malheureusement.

    Je constate que mon commentaire précédent à propos de Aurélien Pierre à propos de ce problème a disparu. Bug ou malvenu face à l’article?

  2. Article excellent et clair, bien construit. je pense que c’est le meilleur article sur ce sujet que j’ai lu.

  3. Avec mon premier Nikon numérique j’ai fait quelques dizaines de tirage 60 x 90 de qualité . Il n’avait que 12 Mp…. Et la qualité y était . En argentique le format 50×75 était courant et aussi de qualité . L’important c’est la qualité de l’objectif !!!

    • D’accord à 200% !
      J’ai fait d’excellents tirages de grande taille pour faire des expositions avec mon bon vieux D700 et même avec mon D200 !!
      On oublie trop souvent que les grands tirages sont faits pour être regardés à une certaine distance (au moins égale à la diagonale, comme pour une télé) et non le nez sur le papier…

  4. Bonjour,

    Merci pour cet article qui remet certaines pendules à l’heure.

    Il me semble qu’il y a une confusion, dans une partie du texte, entre « définition » et « résolution » : quand on passe d’un capteur de 12 MP à un capteur de 24 MP, c’est la définition (nombre de points composant l’image) qui double, et non la résolution (nombre de points par unité de longueur).
    Cordialement.

  5. y’a pas que le tirage m’a t’on dit
    selon objectif zoom angle 10 degré ou grand angle 120 degré il faut plus de pixel pour grand angle car le paysage est tres large et donc on a besoin de plus de détail pourra
    pourrais je avoir confirmation .est ce que la différence est flagrante de détail entre paysage 20 mm 24mpx et 20mm 45 mpx .?

    • C’est à nouveau une question de tirage, paysage ou pas. Sur écran aucune différence.

    • Cette personne vous parler de corriger la distorsion d’un objectif fisheye, c’est effectivement bien d’avoir une bonne résolution car vous allez étirer les coins de l’image, perdre de l’information et recadrer.

      Mais enfait, à moins que vous fassiez des expositions longues, vous faites sa avec un un pied en prenant plusieurs photos.

  6. Bonjour à tous,
    Pour connaître les dimensions « raisonnables » d’un tirage sur papier qu’on peut attendre d’une image numérique, j’aime bien aussi la formule « nombre de pixels / 100 ».
    Exemples :
    1000 px * 1500 px = 10 cm * 15 cm
    4000 px * 6000 px = 40 cm * 60 cm
    Pour une distance d’observation « raisonnable » elle aussi 🙂

    • Bonjour Hervé. Il me semble difficile d’établir ce genre de tableau, ou pas de manière impérative. Mais ça peut être une piste. Cela dépend de trop de choses. La photo elle-même en premier. Nécessite-t-elle une netteté jusqu’aux plus infimes détails ? Le style du photographe. A-t-il envie d’une grande netteté ? son style implique-t-il une part de flou ? voire également une part de bruit, d’ailleurs. La destination de la photo, son usage (compte-tenu comme vous le rappelez de la distance d’observation – au passage je ne sais pas trop ce que vous entendez par « raisonnable »). Personnellement j’aime éventuellement un peu de flou dans ma photo, et même du bruit sur certaines zones (pas toute la photo, bien sûr !) . C’est mon goût, c’est mon style. Mes photos sont très appréciées même si je ne les montre pas beaucoup (j’ai tord, je sais … 😉 ). Cela va plus loin : je n’aime pas toujours non plus que les photos des autres, celles que je regarde et que j’admire (ou pas…) soient trop nettes. Cela me gêne, cela m’empêche même éventuellement de les apprécier. Certes on ne fera pas quelque chose d’intéressant en agrandissant à 3x4m une photo d’une définition de 600×800, rires. Quoique, dans une démarche « conceptuelle » il doit bien y avoir des gens qui l’ont fait ! Dans le film on a même le problème inverse. Il est souvent reproché que l’image ne « fait pas cinéma » parce qu’elle est trop nette ! On vous dit que « ça fait video ». Alors… on rajoute un certain flou… En fait un peu tout est possible, le principal est toujours (je pense que Jean-Christophe sera d’accord avec moi, et vous aussi) de chercher à obtenir ce qu’on a envie d’obtenir, ce qu’on a imaginé au moment de la prise de vue et même en amont.

      • Je partage complètement votre avis !

      • Avec 6000 * 4000 pixels, J-Cristophe estime qu’on peut obtenir une image de « grande qualité » 50 cm * 40 cm en 300 dpi. Tout à fait d’accord avec ces chiffres pas si éloignés de ceux que j’indiquais.
        Je précise que je ne revendique pas la parternité de la méthode que j’évoquais, je la trouve seulement facile.
        Par ailleurs, à chacun de définir ce qu’il entend par « grande qualité ». 300 dpi, c’est parfait quand on a 20 ans. A 60 ans l’acuité visuelle n’est plus ce qu’elle était…

      • Si on n’aime pas les images « trop nettes » rien n’interdit d’opérer une légère « altération », un peu de bruit/grain, sur un fichier « trop net » , ce qui n’est pas possible avec une image « trop floue’, n’est-ce-pas… Il faut juste maitriser l’édition post prod avec parcimonie.
        Rappelez-vous la course au graal en argentique NB qu’était le minimum de grain à coup de révélateurs « grain fin » Microphone et cie… Ô tempora, Ô mores!

    • Il n’y a pas de dimension raisonnable .A partir de 6 Mpx on peut agrandir à n’importe quelle dimension( Source Kodak ) , pour autant que l’on respecte la distance d’observation qui correspond à la diagonale de photo . Exemple : 30 cm pour une photographie de 18 x 24 cm,
      50 cm pour une photographie de 30 x 40 cm, 5 m pour une affiche de 4 x 3 m.

  7. Maurice De Potter | 20 juin 2023 à 12 h 12 min | Répondre

    Bonjour Jean-Christophe,
    Un article intéressant à lire avant de casser sa tire-lire.
    Quelle est la différence entre un pixel et un photosite ?
    L’un est-il un des composant de l’autre ?
    De quoi sont-ils composés ?
    Merci de votre réponse.
    Maurice.

    • Le photosite est le plus petit élément du capteur qui enregistre la quantité de lumière arrivant sur sa surface, au sens électronique du terme.
      Le pixel est l’élément unitaire correspondant au sens informatique du terme.

  8. Je pense que le problème est plus compliqué que cela. Si je peux me permettre de compléter un peu ce bon article. Le nombre de pixel du capteur n’est pas aussi important qu’on croit, même pour des tirages assez grands. 24 Mp peut être bien suffisant pour des tirages assez importants parce qu’en fait beaucoup de choses dépendent de la distance à laquelle on regarde. Un de mes amis, portraitiste (pro) d’exception, travaille souvent à moins que cela. Une des images phare de son magasin a été prise… à 5Mp !!! (il m’a dit de ne pas le répéter mais comme je ne donne pas son nom 😉 … ) En fait, un grand tirage n’est jamais regardé de près. Imaginons un tirage de 1 m de large. On ne sera pas à 40 cm de la photo comme si on la tenait à la main, mais à sans doute environ 2m ou plus. Les petits détails qui nécessiteraient 36, 45, 61 pixels ne seront probablement plus observable à 3 m de distance ou plus. Arnaud Frisch explique tout cela bien mieux que moi dans un de ses ouvrages (numérique, un pdf). Inversement, si on tient à la main un 24×30 il y a intérêt à ce qu’il y ait beaucoup de pixels aussi, pour montrer par exemple un cheveu. L’impression donnée par une photo, et sa netteté en fait partie, est toujours sujette à la distance à laquelle on la regarde. Même s’il est sûr qu’une photo prise à 12 Mp puis agrandie à 3×4 m sera très floue regardée à 40 cm ! Mais personne ne la regardera à 40 cm… 😉 A titre de réflexion, au cinéma, un pixel sur l’écran fait entre 3 et 5 cm selon la taille de la salle. (réflexion, parce qu’on ne peut pas vraiment comparer). En tout cas merci, une fois de plus, à Jean-Christophe qui permet ainsi d’ouvrir des débats.

  9. Tout à fait d’accord avec l’ensemble de l’article.
    J’ai acquis un Z7, donc 45 Mp, pour 2 raisons principales : bénéficier d’une réserve de pixels pour recadrer et redresser des perspectives, et ensuite pour conserver ces petits détails qui sont parfois les vrais sujets d’une photo (personnage lointain par ex).
    Toutefois il me semble que si 50 Mp sont une limite suffisante, il ne faut pas oublier que le poids d’une photothèque devient vite considérable et qu’il faut éditer sévèrement sa production.

    • On disait déjà ça il y a a peine 20 ans, quand les APN alignaient 12 Mpix (Canon 5D), et que vous conserviez vos jpeg issus de votre carte mémoire énorme de 2Go, enregistré sur votre HD de 500Go. La loi de Moore est toujours un peu valable, en termes de rapidité des puces, et des quantités phénoménales de possibilités de stockage, HD et SSD confondus.
      Pas de panique!

      • Personnellement, mon problème n’est pas tellement le stockage, mais l’édition, car le Téraoctet tourne aux alentours de 60€, et les vitesse de transfert sont au moins de 300Mb/s d’autre part je jette la grande majorité de mes RAWs (sauf les vraiment bons), et j’exporte la plupart du temps mes Jpegs à 12 Mp (sauf quand j’imprime), avoir un capteur bien défini (comme celui de mon D810) me sert surtout pour cropper en macro et en animalier, car 24Mp sont déjà bien suffisants pour imprimer n’importe quelle surface. Par contre, éditer les photos de 24MP de mon Z6 me mange jusqu’à 70% des 12 gigas de RAM de mon PC, et éditer de la vidéo me demande encore plus, ce qui a tendance à rendre le procédé extrêmement lent. Et bien sûr, c’est encore pire avec des boîtiers plus définis.