Des conseils pour choisir et mieux utiliser votre appareil photo par Jean-Christophe Dichant

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Pourquoi utiliser le RAW et faire du post-traitement

Pourquoi utiliser le RAW alors que les boîtiers actuels sont capables de faire des JPG de qualité ? Pourquoi passer du temps à traiter vos photos alors que c’est la prise de vue qui vous intéresse ? Pourquoi vos photos ne sont pas remarquées et … remarquables ?

Voici une série de questions à vous poser si vous hésitez encore à passer au format RAW.

Pourquoi utiliser le RAW et faire du post-traitement

Pourquoi utiliser le RAW ?

Le format RAW (pour « brut » en français) est un format de fichier image produit par les appareils photo sans que ceux-ci n’appliquent de traitement aux photos, ce qui est le cas pour les fichiers JPG.

Un fichier RAW est donc un négatif numérique qu’il faut développer et tirer (on dit « traiter ») alors qu’un fichier JPG est un fichier déjà développé et traité pour vous par le boîtier.

En comparant avec l’argentique, le RAW est le négatif couleur ou NB que l’on va développer et tirer tandis que le JPG est la diapositive.

Les fichiers RAW doivent être développés à l’aide d’un logiciel dédié, appelé développeur RAW, dématriceur ou derawtiseur pour être utilisés, tirés, imprimés.

Les développeurs les plus connus sont Camera RAW intégré à Photoshop, Lightroom et Photoshop Elements, DxO Optics Pro, Capture One Pro, Darktable, Nikon Capture NX-D, ACDSee etc. (en savoir plus sur ces logiciels)

Quand utiliser le RAW ?

La plupart des débutants en photographie utilisent le format JPG car c’est celui que l’on retrouve sur les compacts, bridges et smartphones. Les photos sont prêtes à l’usage sur la carte, vous avez juste à les transférer et c’est fini.

Utiliser le RAW séduit ceux qui veulent aller plus loin dans leur pratique car il apporte de la souplesse pour donner à vos photos le rendu souhaité.

Sachez que le format RAW peut aussi être utilisé en complément du JPG, il vous suffit de choisir RAW + JPG sur votre boîtier pour bénéficier des avantages des deux formats : prêt à l'emploi et prêt à traiter.

Voici quelques critères pour savoir si le RAW est fait pour vous ! Vous êtes prêt pour le passage au format RAW et le post-traitement si les situations ci-dessous vous correspondent en partie.

1- Vous trouvez que vos photos n’ont pas le rendu qu’elles méritent

Vous faites des photos que vous qualifiez de « bonnes » techniquement mais qui ne vous satisfont pas sur le plan du rendu. Vous les trouvez ternes, fades, en rien comparables à celles que vous pouvez voir chez d’autres photographes.

Le post-traitement RAW permet de corriger cet aspect un peu plat pour faire ressortir les détails de l’image, les zones qui le méritent (le ciel par exemple), pour guider le regard du spectateur vers le sujet principal.

2- Vous voulez faire des photos qui reflètent ce que vous avez vu et ressenti

Vous avez ressenti une émotion à la prise de vue, ou vous avez vécu un moment fort. Et vous aimeriez que cela se sente dans vos photos, qu’elles ne ressemblent pas à celles des autres mais qu’elles vous ressemblent.

Le post-traitement permet de mettre l’accent sur l’émotion en valorisant certaines zones de la photo, en apportant une tonalité particulière à vos images.

3- Vous aimeriez que vos photos paraissent plus vivantes et dynamiques

Vos photos de paysages sont ternes, les ciels sont clairs, les détails insuffisamment nets, et ce n’est pas ce que vous aimeriez obtenir. Mais vous n’arrivez pas au bon résultat bien que vous ayez testé différents réglages Picture Control sur votre boîtier.

Utiliser le RAW permet de jouer sur la plupart des paramètres de prise de vue pour transformer totalement le rendu sans dénaturer la photo, sans la retoucher comme le font les graphistes qui ont d’autres buts.

4- Vous cherchez la bonne mesure entre absence et excès de post-traitement

Certains photographes font des photos qui vous plaisent mais vous paraissent très retouchées, et vous trouvez ces retouches trop visibles. Pour vous les traitements appliqués ne devraient pas apparaître car l’image finale doit être naturelle, elle doit montrer ce que vous avez vu mais pas une vision créée à l’aide d’outils informatiques.

Le post-traitement permet d’ajuster les différents paramètres de l’image sans pour autant faire de la retouche : vous n’ajoutez rien, vous ne retirez rien (sauf quelques taches de capteur …), vous corrigez simplement le traitement par défaut du boîtier pour l’adapter à vos goûts.

5- Vous voulez comprendre le ‘pourquoi’ du post-traitement

Vous aimeriez produire des images plus intéressantes, et comprendre ce qui joue sur le regard du spectateur. Vous ne savez pas comment obtenir ce résultat mais vous savez qu’il faut faire quelque chose car la version « brute de boitier » ne vous convient pas.

Le post-traitement permet de tester différentes versions d’une même photo, en couleur comme en noir et blanc. Vous pouvez jouer avec une tonalité tout en gardant la photo d’origine qui est plus naturelle. Vous pouvez réchauffer une ambiance ou à l’inverse la rendre plus froide.

6- Vous aimez passer du temps à analyser et gérer vos photos

Pour vous la photo ne s’arrête pas à la prise de vue, il y a plusieurs opérations complémentaires à faire depuis le tri et le classement des images jusqu’à leur présentation en passant par la mise en cohérence des séries. Vous aimez passer du temps à regarder vos images, à les comparer les unes aux autres, à chercher comment les mettre en valeur.

7- Vous voulez savoir comment post-traiter vos photos pour qu’elles soient remarquées et publiées

Vous aimeriez voir vos photos remarquées, partagées, publiées. Mais ce n’est pas le cas car elles ne sortent pas du lot. Vos photos sont intéressantes mais ne sont pas uniques, vous manquez encore d’une démarche créative personnelle qui leur donnerait un tout autre aspect.

Utiliser le RAW vous permet de définir le rendu qui vous satisfait et de l’appliquer ensuite en quelques clics (la plupart du temps) à une série d’images. En réalisant des séries plus homogènes vous mettez en valeur chaque image.

Pour aller plus loin avec le format RAW

Pour passer au format RAW il vous suffit de le choisir sur votre boîtier, regardez dans le manuel pour savoir comment procéder. Mais ce n’est que le début de l’aventure : il va vous falloir ensuite gérer et traiter ces fichiers RAW dans un logiciel adapté.

Certains logiciels sont gratuits (par exemple Nikon Capture NX-D chez Nikon), d’autres sont des logiciels libres (comme Darktable), d’autres encore sont des outils plus complets comme Photoshop Elements, Lightroom, Photoshop, DxO ou Capture One Pro. Sachez que Nikon Capture NX2 n’est plus une option car le logiciel n’est plus maintenu par Nikon (voir Remplacer Nikon Capture NX2).

Prenez le temps de tester l’utilisation du format RAW avec un premier logiciel gratuit, ou profitez de la période d’essai offerte par les éditeurs des logiciels payants. Vous verrez ainsi si vous avez la sensibilité nécessaire pour développer vos images.

Ne cherchez pas à maîtriser toutes les fonctions du logiciel immédiatement, il faut du temps pour cela et vous risquez de vous décourager en voyant le nombre de possibilités offertes par les logiciels les plus performants.

Une fois que vous avez testé, simulé, imaginé, prenez un peu de recul : vous aimez travailler ainsi vos meilleures photos pour en améliorer le rendu ?

Si la réponse est oui, n’hésitez plus un instant, investissez dans l’apprentissage du logiciel qui vous correspond et adoptez le RAW.

Si la réponse est non, ne vous sentez pas coupable. Certains photographes se passent très bien du RAW et font des images qui valent la peine d’être vues. Passez alors du temps pour savoir comment choisir au mieux les modes scènes de votre reflex et/ou les réglages Picture Control.

A vous !

Vous avez des questions sur le format RAW ? Posez-les via les commentaires et parlons-en !

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21 Commentaires sur "Pourquoi utiliser le RAW et faire du post-traitement"

  1. Jean-Philippe ROCHE-BARSAC | 8 avril 2018 à 11 h 41 min | Répondre

    PS. à mon commentaire précédent : Je serais très intéressé, Jean-Christophe, par un tutoriel de vous sur la chaîne compète d’un traitement post-RAW, depuis la découverte de l’image brute jusqu’à l’image finale enregistrée (en JPEG ?) pour être utilisée sur grand écran de télé (Full-HD ou 4K).
    Merci d’avance.

  2. Jean-Philippe ROCHE-BARSAC | 8 avril 2018 à 11 h 34 min | Répondre

    J’aimerais bien « me mettre au RAW » mais je ne comprends pas ce qu’il faut faire après avoir effectué le post-traitement dans un logiciel spécialisé type Photoshop E.? PaintShop Pro (que j’utilise) ou autre pour sauvegarder ces modifications ? Faire une sauvegarde en JPEG (qui compresse et dégrade l’image), ou en RAW (qui ne serait donc pas utilisable) ?
    En bref, qu’est-ce qu’on fait APRES ?

    • Henri-Pierre Juguet | 8 avril 2018 à 11 h 45 min | Répondre

      Votre appareil vous délivre un fichier RAW (si vous le réglez ainsi, bien sûr). Ce fichier RAW est une sorte de « négatif » que vous devez développer (vous pouvez à ce moment agir sur tout un tas de paramètres). Vous ne pouvez pas développer dans Photoshop Element ni Paintshop ou autre. Il vous faut un logiciel spécialisé. Photoshop (Element ou Pro) le fait avec son module « Camera Raw ». Ce développement délivre un fichier JPEG que vous pouvez ensuite traiter… ou pas si vous êtes satisfait du résultat. Comme d’habitude ! Pour bien voir les possibilités, voici les tailles des fichiers obtenus. Mon appareil me délivre des RAW qui font environ 20 Mo. Après développement les JPEG obtenus font entre 9 Mo et 16 Mo. Cela permet d’avoir tout de même une image de bonne qualité je crois 😉
      Je ne comprends tout de votre question..

  3. Henri-Pierre Juguet | 8 avril 2018 à 10 h 09 min | Répondre

    Bonjour à tous les commentateurs. A mon humble avis le problème n’est pas un combat entre RAW et JPEG. Clovis Gauzy a me semble-t-il une excellente approche de la question : le RAW c’est votre négatif, comme le dit l’article de Jean-Christophe. Il faut absolument le conserver. Et comme autrefois avec l’argentique on pourra en faire plusieurs tirages : peut-être que 2 ans plus tard on voudra refaire un tirage de la même photo mais exprimant quelque chose de différent, donc on changeant les paramètres dans le RAW. Ces tirages c’est le JPEG ; avec ou sans retouche, ça c’est au goût de chacun. Ceci n’est pas une invention du numérique ! On le faisait déjà du temps de l’argentique, bien sur ! (choix du papier, choix des bains, « passer la main », etc…) Et on avait même des boites de crayons spéciaux qui permettaient de retoucher les couleurs, les points blancs, etc… directement sur le positif en cas de besoin. J’ai une vision très « picturale » de la photo. (je considère mon capteur comme un pinceau supplémentaire à ma peinture…), aussi j’utilise le RAW pour donner une vision générale de ma photo. Rectifier l’exposition, un premier traitement de la couleur, éventuellement les corrections de perspective, etc…, et je retravaille ensuite le fichier JPEG obtenu pour obtenir l’image que je souhaite. Parfois le résultat est… méconnaissable ! 😉 Il y a ainsi pas mal de garde-fous : le RAW, LE ou LES développements « de base » en JPEG, et un ou plusieurs JPEG ou formats à calques… La taille du dossier contenant UNE photo (et ses différentes versions…) peut allègrement dépasser les 80 Mo… Mais de nos jours la mémoire est bon marché, non ?

  4. J’ai découvert votre site il y a peu et je peux vous dire que votre passion est communicative. Merci pour cette mine d’infos, tutoriels et conseils. Je photographie depuis 59 ans. Je suis entré dans le numérique par les appareils d’entrée de gamme : Nikon D3000. J’aimerais monter d’un cran mais les appareils que vous mettez en avant, très justement certainement, ne sont pas à ma portée. Je suis un photographe standard : nature, paysage, vie culturelle, art, histoire …. et famille bien sûr. C’est un réel plaisir de tenter de saisir les expressions d’un bébé, d’un enfant. Bref tout est sujet à photographie. Auriez-vous une solution intermédiaire à me recommander entre l’appareil dont je dispose et les appareils frisant la perfection.
    Encore merci pour le travail que vous réalisez et que votre passion soit contagieuse.

    André

  5. Effectivement, j’ai lu l’article du Monde que tu as passé hier.
    Il y avait pas mal de très bonnes choses, mais également des tonnes de contre vérités !!!
    Ce qui m’a fait sursauter entre autre, c’était l’argument de prendre de la place inutile sur la carte mémoire ou disques durs.
    Les unités de stockage, quelqu’elles soient sont de plus en plus capacitives et de moins en moins chères.
    Pour ma part, je shoot en jpeg-fine + raw … et en plus quand j’ai des doutes sur l’exposition, je fais du bracketing (et je garde tout) …. c’est dire si je m’en tape de la place que ça va prendre!
    … je pourrai aborder les autres points qui m’ont déplu, mais si je continue, c’est un livre que je vais ecrire.
    À plus

  6. En cas de RAW + JPEG, j’utilise JPEG basic, ce qui me permet d’avoir rapidement une photo sans avoir à la développer. Ensuite, je traite éventuellement les plus belles à partir du raw.
    Du coup, quasiment toutes mes images sont en JPEG basic.
    Peut être serait il préférable de shooter en RAW + JPEG Fine ?

  7. Hello !

    Un petit détail qui aura son importance le jour où il faudra dealer avec une contrefaçon (rigolez pas, ça arrive vite) : les RAWs étant des fichiers de travail, et donc pas prévu pour circuler, ils sont les parfais outils pour prouver votre paternité sur les clichés (à condition de ne jamais les transmettre à quiconque).
    Conservez les donc soigneusement, multipliez les sauvegardes, ce sont les « pellicules numériques » dans tous les sens du terme. 😉

  8. Toujours en Raw pour moi. Même quand j’ai eu mon Reflex il y a maintenant un peu plus 1 an. (Mars 2015). J’avais commencé à regarder des tutos avant d’avoir mon 3200, je me suis jamais posé de question sur le format à sortir du boitier.

  9. Je tente d’essayer Rawtherapee, qui a l’air super mais impossible d’ouvrir mes fichiers NEF.. vu la lenteur ?
    Un bon logiciel ? Comment accélérer et comprimer ensuite mes images ?
    Logiciel bon aussi pr travailler les JPG ?
    Merci !

  10. Bonjour, merci pour ce large balayage des avantages du RAW. Actuellement je commence à tester le traitement des fichiers RAW avec DXO pro 9 et en parallèle je traite les JPEG avec Photoscape. Je dois reconnaitre obtenir de meilleurs résultats avec les JPEG retouchés (c’est déjà beaucoup plus rapide ) je suis convaincu que la maitrise des retouches des RAW doit permettre d’obtenir de meilleurs résultats, mais cela me semble très lourd à manier.
    Pour votre article il me semble nécessaire de préciser que les JPEG peuvent eux aussi être améliorés par le post-traitement ( netteté , traitement des zones sombres ou claires , couleurs etc… )

    Pour l’instant je persiste à essayer le traitement des RAW , mais ne suis pas certain de mon choix final .
    Cordialement

    br71

    • Bonjour, encore merci pour ce topo détaillé sur les avantages du RAW.

      Je partage entièrement le point de vue de br17, je fais mon post-traiement avec DXO OPTICS 11 et celui est remarquable sur les JPEG.
      A ce jour je n’ai pas encore une nette différence entre les 2 formats après retouche. En plus de mon D610 j’ai également un P900 qui ne travaille qu’en JPEG et le résultat après post-traitement est stupéfiant.

      Je continue à utiliser le format JPEG+RAW pour faire du post-traitement sur les 2 formats et effectuer un comparatif.

      Un point que je pense ne pas avoir lu : la différence et le choix à faire entre format 12 et 14 bits ?
      Bonne journée

      • Bonjour,
        Tout à fait d’accord avec les remarques précédentes, j’utilise pour ma part Adobe Photoshop Éléments pour la retouche de mes JPEG (photos faites à la plus haute qualité possible sur mon boitier D5500). Je peux très bien éclaircir les zones trop sombres d’une image ou au contraire « assombrir » un ciel trop clair…. tout en jouant sur les contrastes moyens, et çà très facilement. Ce qui n’est de très loin pas le cas pour les logiciels de traitement RAW. Ce dernier « format » a de plus un inconvénient rédhibitoire à mes yeux : la taille en octets que prend une telle image est …… énorme. Si en plus on choisit JPEG+RAW, le téraoctet (1000 Go) de stockage sera très vite atteint.
        Il suffit d’éviter en JPEG de multiples manipulations, sachant qu’à chaque réenregistrement d’un fichier jpeg la compression du format « rognera » la qualité de la photo initiale…. d’où l’intérêt de définir la qualité de prise de vue sur « haute » ou « maxi » sur son boitier.

        • En « réponse » aux différents commentaires, je trouve dommage de faire de la retouche sur du Jpeg !!
          Je peux totalement comprendre qu’on n’ai pas envie de retoucher ses photos, ça ok mais quitte à passer du temps à retoucher ses photos, autant le faire du RAW ! la perte d’infos sera énorme entre les deux et à mon avis le temps passé ne sera pas forcément plus long sur du RAW que sur du Jpeg.
          Pour ma part, je passe encore du temps pour développer une photo mais j’en suis qu’à mes débuts et je pense qu’en 2/3 min on peux obtenir un très bon résultat avec un peu d’expérience…

        • « Je peux très bien éclaircir les zones trop sombres d’une image ou au contraire « assombrir » un ciel trop clair…. tout en jouant sur les contrastes moyens, et çà très facilement. Ce qui n’est de très loin pas le cas pour les logiciels de traitement RAW. »

          Ah bon ? https://uploads.disquscdn.com/images/ff4393493fe69e9c54620a6d337bb4f589eef4f361d3ae8edf229056375d6ab9.png − DxO OpticsPro 10

      • Je préfère tirer le meilleur de mon boîtier quitte à ne pas utiliser tout de suite tout ce que contient le fichier. Donc choisir 14bits au lieu de 12, ça ne fait pas une grosse difference en taille de fichier mais il y a bien plus d’informations dans le fichier que certains logiciels peuvent exploiter si vous êtes pointilleux.